Ce site web utilise des cookies
Ce site web utilise des cookies. Pour plus d'informations sur la façon dont nous utilisons les cookies, vous pouvez lire notre Notification sur la confidentialité et les cookies
Ce site web utilise des cookies. Pour plus d'informations sur la façon dont nous utilisons les cookies, vous pouvez lire notre Notification sur la confidentialité et les cookies
9 articles seulement
Retour gratuit sous 4 joursDétails
Publisher
94%Score du vendeur
610 Abonnés
Vitesse d'expédition: Excellent
Qualité des produits: Excellent
Avis des clients: Bon
Dans cet essai, l’auteur tente d’apporter un éclairage particulier sur les événements ayant marqué les trois siècles de présence ottomane dans cette partie du Maghreb central appelée État d’Alger, par les uns, et Régence, par d’autres. Un État que Khair-Eddine Ibn Yaâkoub, dit Barberousse, a fondé sur les ruines des royaumes déliquescents des Zianides de Tlemcen, et des Hafsides de Tunis dont les monarques avaient prêté allégeance aux nouveaux croisés de la Reconquista qui, dopés par la prise du dernier bastion musulman de Grenade, en 1492, et la découverte concomitante des Amériques avec ses immenses richesses, avaient entrepris la conquête de l’ensemble du Maghreb afin d’y imposer l’ordre chrétien, par le fer et le feu. Stoppés dans leur avancée triomphante par les frères Barberousse, ils seront définitivement rejetés hors du pays, après quelques trois siècles de guerre sur terre et sur mer, par une population réunie autour d’un noyau d’Ottomans qui sut lui apporter le sens de l’organisation étatique et le strict respect des lois édictées.
Au cours de cette longue période, l’État d’Alger était craint et respecté dans l’ensemble du bassin méditerranéen, et au-delà. Tous les pays chrétiens s’empressaient de s’y faire représenter par des consuls dûment accrédités, et de signer des accords de paix et de libre navigation avec lui. Sa descente aux enfers commença en 1791, au lendemain de la disparition de Mohamed Ben Osman, un dey à l’origine de trois victoires éclatantes sur les Espagnols, et de la reconquête des places fortes d’Oran et de Mers El Kébir, après 286 ans d’occupation militaire (1505-1791). La cause principale de son effondrement est directement en rapport avec la corruption que les familles juives livournaises des Bakri et Busnach avaient introduite au sommet du pouvoir, et qui finira par avoir raison d’un État que rien ne prédestinait à devenir une colonie française.
Dans cet essai, l’auteur tente d’apporter un éclairage particulier sur les événements ayant marqué les trois siècles de présence ottomane dans cette partie du Maghreb central appelée État d’Alger, par les uns, et Régence, par d’autres. Un État que Khair-Eddine Ibn Yaâkoub, dit Barberousse, a fondé sur les ruines des royaumes déliquescents des Zianides de Tlemcen, et des Hafsides de Tunis dont les monarques avaient prêté allégeance aux nouveaux croisés de la Reconquista qui, dopés par la prise du dernier bastion musulman de Grenade, en 1492, et la découverte concomitante des Amériques avec ses immenses richesses, avaient entrepris la conquête de l’ensemble du Maghreb afin d’y imposer l’ordre chrétien, par le fer et le feu. Stoppés dans leur avancée triomphante par les frères Barberousse, ils seront définitivement rejetés hors du pays, après quelques trois siècles de guerre sur terre et sur mer, par une population réunie autour d’un noyau d’Ottomans qui sut lui apporter le sens de l’organisation étatique et le strict respect des lois édictées.
Au cours de cette longue période, l’État d’Alger était craint et respecté dans l’ensemble du bassin méditerranéen, et au-delà. Tous les pays chrétiens s’empressaient de s’y faire représenter par des consuls dûment accrédités, et de signer des accords de paix et de libre navigation avec lui. Sa descente aux enfers commença en 1791, au lendemain de la disparition de Mohamed Ben Osman, un dey à l’origine de trois victoires éclatantes sur les Espagnols, et de la reconquête des places fortes d’Oran et de Mers El Kébir, après 286 ans d’occupation militaire (1505-1791). La cause principale de son effondrement est directement en rapport avec la corruption que les familles juives livournaises des Bakri et Busnach avaient introduite au sommet du pouvoir, et qui finira par avoir raison d’un État que rien ne prédestinait à devenir une colonie française.
Les clients qui ont acheté ce produit n'ont pas encore laissé d'avis
Faites vos achats en toute confiance
Abonnez-vous a notre newsletter maintenant et recevez tous les jours nos meilleures offres!