Peut-on porter un jugement objectif sur la juridiction administrative française lorsqu'on y a collaboré pendant de nombreuses années ? Et cependant il serait affligeant d'étaler son incapacité à exprimer, au moins en quelques lignes, son sentiment sur une institution à laquelle on vient de consacrer quelque dix-sept cents pages. " C'est ainsi que s'exprimait Raymond Odent dans la conclusion de la dernière édition de son Cours de contentieux administratif professé pendant trente ans à l'Institut d'études politiques de Paris. À l'occasion du centième anniversaire de la naissance de son auteur, voici la dernière version d'un ouvrage à l'origine polycopié et désormais introuvable, qui reste une référence dans laquelle puisent encore, trente ans après, magistrats de l'ordre administratif, enseignants et praticiens. Ce second tome réunit les fascicules 4 à 6 du Contentieux administratif.
« Peut-on porter un jugement objectif sur la juridiction administrative française lorsqu'on y a collaboré pendant de nombreuses années ? Et cependant il serait affligeant d'étaler son incapacité à exprimer, au moins en quelques lignes, son sentiment sur une institution à laquelle on vient de consacrer quelque dix-sept cents pages ».
C'est ainsi que s'exprimait Raymond Odent dans la conclusion de la dernière édition de son Cours de contentieux administratif professé pendant trente ans à l'Institut d'études politiques de Paris.
À l'occasion du centième anniversaire de sa naissance, voici la dernière version d'un ouvrage à l'origine polycopié et désormais introuvable, qui reste une référence dans laquelle puisent encore, trente ans après, magistrats de l'ordre administratif, enseignants et praticiens.
Ce second tome réunit les fascicules 4 à 6 du Contentieux administratif.